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Concours Histoires |
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Concours saisonnier de "la plus belle histoire d'arbre".
L'atelier d'art L'ARbre et la FEuille offrira chaque trimestre, par tirage au sort, un calendrier des arbres pour récompenser "une histoire d'arbre" qu'il aura reçue par e-mail à alain@arfe.fr
L'histoire devra être écrite en français et contenir
moins de 800 mots. L'ARFE est seul juge pour publier ci après, ou non, les
histoires reçues. Seules les histoires publiées participeront au tirage.Chaque auteur
(identifié par son e-mail) est limité à une seule histoire par période.
De plus l'auteur accepte implicitement :
** Que son e-mail soit publiée en tant que signature
** De dégager la responsabilité de l'ARFE pour toute utilisation de son
texte à des fins commerciales ou autres, par des tiers qui l'auraient
"prélevé" dans ces pages.
** La bonne foi de l'ARFE concernant la régularité du tirage au sort (
petits-papiers, chapeau, pas d'huissier).
Les 4 tirages annuels sont fixés au 21 mars, 21 juin,
23 septembre, 22 décembre.
Si, à l'une de ces dates, un minimum de 15 histoires n'est pas atteint, le tirage
au sort sera annulé.
A vos plumes ...
Nom de l'auteur | date de réception | |
Cet espace attend votre histoire. |
TONTONDOM'S | parolin.dominique@neuf.fr | 30 décembre 2008 |
La sève ne monte plus jusqu'au coeur Je vois sécher les branches une à une de mon arbre de lune Arbre mirage arbre de fortune papier image Il est jusqu'aux oiseaux d'en éviter l'ombrage jusqu'aux noirs corbeaux L'écorce s'éclate sons sourds inaudis, inouis d'amour que de l'amour ! Tonton dom's |
Marie BOIGNE | mokonasan@hotmail.com | 24 novembre 2008 |
L'ARBRE SOLITAIRE Au
milieu du champ de lavande, Mokona (Marie BOIGNÉ) |
TITOUNETTE | titounette--@hotmail.fr | 7 avril 2008 |
« SEUL »
Toi qui est partout, Sous différents habits… Et qui subit toutes ses intempéries… Qui reste silencieux, Or mis quelques chuchotements, Quand le vent t’y autorise. Toi qui est partout, Derrière les pique-nique qui t’envahissent… Et qui subit tous ses discours qui t’ennuis… Qui reste silencieux, Quand les humains, Te tordent les mains. Toi qui est partout, On te regarde sans écouter tes douleurs, On te regarde sans voir tes beautés On te regarde sans songer que sans toi nous ne serions là. Alors honneur à toi arbre de la solitude… |
Jean Luc PINEAU | pineau.jean.luc@free.fr | 7 Janvier 2008 |
Un géant
est né dans un berceau de fusains Dit ! Dessine-moi un arbre, chante Teddy Dame nature est belle ainsi vue, " chère dame " JL. P |
Michèle MARTIN | missclick1@tele2.fr | 22 novembre 2007 |
A
l'orée du bois, pleure un arbre de tout son feuillage Michèle MARTIN |
Madeleine VILLALONGA | villalonga.madeleine@neuf.fr | 21 octobre 2007 |
Aimer l’Arganier Rêver du Robinier Bavarder avec le Baobab Rire sous le chêne Rouvre Envier l’Ebénier
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Gérard ETHIENNE | gerard.ethienne@club-internet.fr | 6 octobre 2007 |
Témoin Le chêne aimait offrir, Le chêne Lui, qui depuis si longtemps,
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Yvette PETERMANN | y.petermann@bluewin.ch | 9 septembre 2007 |
L’arbre et l’enfant Nous étions dans la tiédeur d’un matin de juin. Le ciel était
couvert et je tenais mon petit-fils par la main pour faire un grand tour à pied et voir
les génisses. Un travail qu’il faut exécuter régulièrement pour contrôler si le
bétail n’est pas incommodé ou dérangé. Magnifique et magique ce petit instant a été salué par un grand coup de vent, petit signe de reconnaissance à ce moment de symbiose entre l’être et la nature. Yvette Petermann
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Christelle GODIMUS | godimus.christelle@club-internet.fr | 9 août 2007 |
Le petit bouleau Le petit bouleau Par un jour de tempête, Que va-t-il m’arriver ? L’écureuil, son ami C’est ainsi que depuis, Christelle
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Jeanine JUMEAU | villalonga.jeanine@neuf.fr | 2 août 2007 |
VIEILLIR C’était un petit sapin Effrayé par toutes les rumeurs Devenir vieux , Que d’être abattu Devenir vieux, Que de prendre la couleur ambre
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Annick ETIENNE | anick.etienne@club-internet.fr | 11juillet 2007 |
A mon Marronnier Tu étais là, au bout d’un
chemin de terre Un jour, notre vie a changé, Que t’ont ils fait ? Tu es parti avec tous nos secrets,
Annick Etienne
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Roland LLOUBES | lloubfa@free.fr | 19 juin 2007 |
L'Arbre Il y avait autrefois de l'affection, de tendres sentiments, |
Cécile | mosellienne@hotmail.fr | 29 mai 2007 |
"La passion des origines |
Marie-France BRUSSEAU | hjmf.larochelle@free.fr | 28 mai 2007 |
Le hêtre centenaire. Je connaissais ton existence. Bercée par cette multitude de sensations je m’endormis. C’est alors que te vis : petite tige fragile qui se dressait
vers le ciel. Tu portais déjà en toi cette assurance et cette volonté, qui t’ont
permis de traverser les siècles pour devenir cet arbre majestueux que tu es maintenant.
La forêt aux alentours semblait différente, moins touffue. Les essences étaient
variées : pas de conifères mais des chênes, des hêtres, des châtaigniers…Au
fil des ans tu t’es développé. Tes branches se sont multipliées, s’élançant
vers le ciel, telle une chevelure hirsute. Tes racines se sont renforcées,
s’enfonçant profondément dans le sol pour te donner une base solide.
Progressivement tu t’es épanoui.
Marie-France BRUSSEAU 28 mai 2007 |
Danielle MASSON | daniellef.masson@aliceadsl.fr | 14 mars 2007 |
L'Arbre d'or Dans ce pays lointain, si lointain
qu’il fallait des jours et des jours de marche pour l’atteindre, si lointain que
presque personne n’en n’était revenu ou si fatigué, si lointain et si
merveilleux, il avait décidé de se rendre. La nuit était encore profonde, mais la
lune le guiderait. Elle avait été souvent la compagne de ses insomnies; si souvent il
lui avait parlé, si souvent il lui avait raconté ses rêves, si souvent il lui avait
confié des messages et toujours elle revenait l’éclairer, toujours elle lui tentait
la main; elle serait son guide vers la onzième vie. Et tout d’un coup, au détour
d’un virage, à l’horizon, il le vit, l’arbre d’or. Plus beau que dans
le plus beau de ses rêves; plus majestueux, plus grand encore. Il était dans le pays de
sa onzième vie. Il hésitait car il savait qu’il n’y aurait plus de retour possible; il savait que s’il poussait la porte de sa onzième vie, à jamais il resterait au pays de l’arbre d’or. La pousserait-il la porte de sa onzième
vie?, savait-il ce qu’il trouverait derrière; oui, il savait; depuis ces jours
et ces jours qu’il pédalait, il savait ce qu’il y avait tout là-bas au bout de
la route; sa onzième vie. 14 Mars 2007
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Michelle HAUTESSERRE | michh@wanadoo.es | 26 mai 2006 |
L’ombre du frêne. .......L’arrière de la maison donnait sur un patio fermé sur sa
longueur par un muret bas surmonté d’un grillage métallique qui le séparait du
"parc" du lycée Foch, l’école des garçons, un bien grand mot pour
définir ce qui n’était qu’un terrain vague en pente vers chez nous, bordé
d’un chemin planté d’arbres que les internes empruntaient à l’heure du
goûter.
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Nicole LECAM | nlecam@wanadoo.fr | 11 mai 2006 |
Les arbres et le béton C’est une histoire vraie que je vais vous raconter, et c’est en découvrant ce site qu’elle m’est revenue en mémoire. J’habitais Pau à l’époque, une belle ville entre mer et montagne où les arbres ne manquent pas. La nature, comme dans beaucoup de coins de France y est vraiment préservée et des comités luttent pour qu’elle le reste…
Nicole LE CAM |
Marie-Martine JONNIAUX | martinejonniaux@wanadoo.fr | 17 février 2006 |
PETIT PAUL et L’OLIVIER Petit Paul était inquiet. En regardant à travers le hublot de l’avion les lumières de l’aéroport de Marignane, il songeait à tout ce qui lui était arrivé depuis le matin. Petit Paul vit toute l’année à La Réunion, cette belle île sauvage où ses parents se sont installés avant sa naissance, après avoir quitté la Métropole, ses grandes villes et sa pollution. Pour la première fois cette année, il venait en France chez ses grands-parents qui habitaient la Côte d’Azur. Ce matin, il avait dit au revoir à Papa et Maman ainsi qu’à ses deux petites sœurs et une jolie dame, qui s’appelait " hôtesse ", après lui avoir passé un sac un plastique portant les deux lettres " UC " autour du cou, l’avait pris par la main et l’avait installé à bord du Boeing de la compagnie CORSAIR qui devait l’amener jusqu’en Métropole. Il avait bien le cœur un peu gros de laisser Papa et Maman mais, d’autre part, il était assez excité à l’idée d’accomplir tout seul ce si long voyage et de savoir qu’à l’arrivée, Papy, Mamy et sa grande cousine Emilie, qu’il connaissait car elle était venue le voir à La Réunion l’année dernière, l’attendaient à l’aéroport et qu’ils n’allaient pas savoir quoi faire pour l’aimer et le gâter plus que de raison. Cependant cela n’empêchait pas Petit Paul d’être inquiet, très inquiet même. Ce voyage lui paraissait maintenant ne plus devoir finir et il n’en pouvait plus. Il faut dire que Papy lui avait dit qu’il lui avait acheté un petit arbre et que ce serait lui qui le planterait dans le jardin dès son arrivée. Et Petit Paul s’inquiétait de la longueur de ce voyage : est-ce que mon arbre ne va pas souffrir d’une aussi longue attente, pensait-il, ne va-t-il pas mourir de ne pas être encore planté ? S’il avait pu il serait descendu de l’avion pour courir plus vite au devant de ses grands-parents. Enfin l’avion atterrit et très vite Petit Paul se retrouva dans les bras de Mamy qui pleurait de joie en l’embrassant. Puis on embarqua dans la voiture et on prit la route de la maison. Au bout de quelques kilomètres, Petit Paul épuisé s’endormit la tête sur les genoux de cousine Emilie. Il ne se rendit pas compte de la longueur de la route parcourue ni du fait que Mamy l’avait pris dans ses bras pour le porter dans son lit et l’avait déshabillé avant de le border bien tendrement. Le lendemain matin, un franc soleil de juin étincelait derrière les volets de la chambre de Petit Paul. Tout d’abord il se demanda où il était et faillit même pleurer de peur de se retrouver dans un lieu inconnu. Puis soudain il se rappela : mon arbre, vite il faut que j’aille le planter. Il se leva d’un bond. Mamy qui l’avait entendu lui tendit les bras : Mamy, Mamy, vite, il faut que j’aille planter mon arbre. Doucement jeune homme, répondit Mamy, tu vas d’abord prendre un bon petit déjeuner puis une bonne douche. Pendant ce temps Papy sera revenu du marché et il viendra t’aider à planter ton arbre. Jamais Petit Paul n’avait avalé son chocolat et ses tartines à une telle allure ni pris sa douche aussi vite. La porte d’entrée claqua juste quand il finissait de s’habiller : Papy, Papy, mon arbre vite, il faut que je le plante. On y va tout de suite bonhomme sourit Papy et il emmena Petit Paul dans le jardin là où il avait déjà creusé un trou qu’il avait rempli de bonne terre bien meuble et bien riche. Dans le jardin, Petit Paul découvrit son arbre : il était petit, bien plus petit que lui mais ses feuilles argentées luisaient d’un doux éclat et se balançaient doucement dans la brise tiède de ce début d’été. Voilà dit Papy en lui tendant une petite bêche. Tu vas creuser ici jusqu’à ce que tu ne puisses plus enlever de terre. Quand ce sera fait je viendrai t’aider pour planter ton arbre. Et Petit Paul creusa, creusa. Il avait chaud, il était tout rouge et en sueur mais il n’arrêta pas de creuser jusqu’à ce qu’il ait enlevé toute la terre comme Papy lui avait dit. Ca y est Papy, j’ai fini cria-t-il. C’est bien répondit Papy en soulevant le pot où se trouvait le petit arbre. Maintenant nous allons l’enlever très délicatement du pot afin de ne pas abîmer ses racines et le mettre dans le trou que tu as creusé. Ce qui fut dit fut fait. Voilà dit Papy, je vais maintenant le tenir bien droit dans le trou et toi tu vas remettre la terre que tu as enlevée tout autour de l’arbre en la tassant bien pour que l’arbre tienne bien droit. Et Petit Paul remit dans le trou toute la terre qu’il avait eu tant de peine à enlever. Il tassa, tassa, d’abord avec ses petites mains puis avec ses pieds. Il dansait autour de l’arbre comme un indien autour de son Totem. Ca suffit dit Papy, ton arbre est bien planté, maintenant il faut l’arroser et il tendit à Petit Paul un petit arrosoir. Petit Paul arrosa soigneusement son arbre. C’est fini dit Papy, maintenant il va commencer à prendre racine et à grandir tout doucement. A midi, autour de la table du déjeuner, Petit Paul n’en finissait pas de raconter à Mamy et à Cousine Emilie de quelle façon il avait réussi à planter son arbre. Puis soudain, il demanda : il s’appelle comment mon arbre ? C’est un olivier répondit Papy, tu sais il y en a beaucoup dans la région, c’est un arbre des régions méditerranéenne. Je n’en ai jamais vu à La Réunion dit Paul. J’ai vu des cocotiers, des bananiers, des cryptomérias, des flamboyants et des banyans mais je n’ai jamais vu d’oliviers. Mamy lui expliqua que chaque région de la terre avait ses propres plantes et ses propres animaux qui ne pouvaient bien croître et se développer que dans le milieu qui leur était le plus favorable. Si tu veux, dit-elle, cet après midi, après la sieste, nous ferons une belle promenade et nous te montrerons plein d’oliviers. Pendant deux heures, ils sillonnèrent la région et Petit Paul fit avec ses yeux la plus grande moisson d’oliviers de la terre. Puis Papy se gara devant un arbre, pas très grand, dont le tronc, presque à sa base, se séparait en deux. Je le reconnais s’écria Petit Paul, c’est un olivier. C’est vrai répondit Papy, mais cet olivier est très vieux, il a plus de 2.000 ans. 2.000 ans, comment est-ce possible ? Plus vieux que toi Mamy demanda-t-il innocemment. Oh oui rit Mamy, bien plus vieux, c’est un des arbres les plus vieux de la terre. Tu sais mon chéri les oliviers peuvent vivre très très vieux. Alors le mien je vais tellement bien le soigner qu’il deviendra très vieux. Je l’espère répondit Mamy, j’espère qu’il deviendra très vieux pour veiller sur toi, tes enfants, les enfants de tes enfants et même les enfants des enfants de tes enfants. L’on rentra à la maison et pendant tout le repas du soir, sur la terrasse, Petit Paul n’eut d’yeux que pour son olivier. Il posa plein de questions. Papy lui expliqua que l’olivier donnait des fruits qu’on appelait des olives et qui étaient très bons à manger. D’ailleurs tu en as mangé dans la salade tout à l’heure. L’heure du marchand de sable avait sonné depuis longtemps mais Petit Paul ne songeait pas à dormir. Il aurait voulu rester près de son arbre toute la nuit pour l’écouter grandir. Mais Mamy très fermement lui passa son pyjama et alla le border dans son petit lit. Dis Mamy quand je serais reparti chez Papa et Maman, vous allez bien le soigner, toi et Papy,mon olivier demanda Petit Paul une lueur d’inquiétude au fond de ses grands yeux noirs. Bien sûr mon chéri et à chaque fois que nous le soignerons nous lui dirons que c’est de ta part pour qu’il se souvienne de toi. C’est beau Mamy un olivier. Oui mon chéri c’est un très bel arbre : c’est l’arbre de la Paix. Et Mamy de raconter à Petit Paul l’histoire du déluge, de Noé et de la colombe et de son rameau d’olivier. Petit Paul s’endormit alors et il rêva que son olivier grandissait, grandissait. Il dépassait la maison de Papy et de Mamy, il devenait plus haut que les plus hautes montagnes, et ses branches s’étendaient sur toute la terre, du grand Nord jusqu’à la Chine et aux Amériques et bien sûr jusqu’à La Réunion au-dessus de la maison de Papa et Maman. Chaque fois que le vent soufflait, des rameaux se détachaient de ses branches et tombaient par terre. Et les habitants de la terre entière les ramassaient en riant et se les offraient mutuellement en s’embrassant et en disant : Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
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Martine SYLVESTRE | msylvestre@cvm.qc.ca | 2 novembre 2005 |
L'Arbre et la petite fille Il était une fois une toute petite fille qui demeurait dans une belle grande maison blanche. De la fenêtre de sa chambre elle pouvait voir deux érables majestueux. Les deux arbres avaient quelques 50 ans. A peine âgée de 3 ans la petite Sandrine aimait rêvasser sur son lit en admirant les arbres qu’elle trouvait si magnifique. A chaque saison la petite fille était émerveillée de voir les changements qui se produisaient dans les deux érables. Du petit bourgeon jusqu’à la naissance des feuilles, du vert si pur jusqu’au teinte orangée des feuilles. Sandrine était toujours en admiration devant ces deux arbres si grands. Certain soir, en hiver Sandrine avait peur car il lui semblait alors que les arbres dénudés étaient comme des ombres mystérieuses et dangereuses. Le jour venue elle était étonnée d’avoir pu l’espace d’un moment craindre les arbres qu’elle admirait tant. Par un beau jour d’été le papa de Sandrine lui installa une balançoire à l’une des branches la plus solide de l’arbre. Sandrine y passa de long moment à raconter des histoires et à bercer l’arbre des ses comptines. Ensemble ils passaient de moments merveilleux. C’était pour les parents de la petite un plaisir pour les yeux de les regarder. Puis quelques années plus tard après une tempête d’automne, une immense branche de l’arbre s’abattit sur la maison. L’arbre fut donc examiner par des spécialistes qui rendit leur verdict et annonça qu’il fallait abattre les deux arbres, ils étaient malades et dangereux, ils pouvaient à n’importe quel moment s’effondrer sur la maison. Deux grands gaillards sont donc venu à la maison et ont abattus les arbres alors que la petite Sandrine était à l’école. Lorsque la petite fille rentra à la maison et qu’elle vit les trous béant à la place des arbres, elle fondit en larmes car pour elle ses deux amis étaient morts. Et comme a dit la petite Sandrine, ça ne sera jamais plus pareil. Martyne Sylvestre |
Catherine ESCARRAS | catherine.escarras@wanadoo.fr | 15 février 2004 |
L’arbre sur le quai C’était un arbre centenaire Les gens parfois le regardaient Les enfants allaient à l’école Un jour près de la petite gare Elle voulait toucher l’écorce L’arbre alors prit la parole Elle répondit qu’elle aimait les arbres Majestueux, touché par tant de charme Depuis, à la place du tronc
Catherine Escarras © : Jeudi 4 novembre 1999 |
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